vendredi, mars 10, 2017

Le cutting extreme…en pratique, commen ca marche?!!

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    LK
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    Olaaa les potos!!! commen va l elite du commentaire mma?? (ouais…je vous jette des fleurs^^).

    On parle souvent des cutting, de ses resultats, ses consequences ( pettis recemment) et des avantages que d autres y gagnent.

    Alors la plupart pense que il suffit de se privé de bouffe et de flotte, et de se mettre en k-way au sauna pour que ca marche… c est pas completement faux MAIS a ce moment il s agit de cutting pr des evenements que JE qualifierai de mineurs (championnat nationaux, petite organisation,etc… )

    Vous allez constaté ds cet article que quand il s agit de championnat du monde et d organisation internationale et que les enjeux financier et sportif deviennent enorme, que le cutting devient une science trés pointue ou rien n est laisser au hasard et ou les erreurs se payent cash.

    D’ailleurs a ce niveau, on se rend vite compte que les adeptes de ces cutting la, (que ce soit en halterophilie ou en sport de contact) on une connaissance quasi medical du corp humain et de ses differents organes, et ils sont de plus encadré tres etroitement par une equipe dont c est le metier…autrement dit , on ne bricole plus, c est carré, avec un suivie au poil de cul (si si…).

    cet article est trés trés technique, et ecrit par un staff de sportif de tres haut niveau, ce qui n empeche pas que je trouve le procédé vraiment limite quand le cutting devient aussi extreme que ce qui est decrit.

    on fait son kahwa ou on se cherche une mousse, ou on fait son collage avant de se lancé parce que c est un article fleuve, trés long et qui demande une certaine concentration si l on veut (presque) tout comprendre. -LK-

    source: Emersion MMA. article de Tim Ferriss (medaillé d or au championnat national chinois de sanda en 1999 en -74kg, depuis devenu ecrivain) traduit, réorienté et argumenté par Octogen Vevey une team suisse de mma

    Pour des milliers d’athlètes, cutter du poids est une science difficile. La catégorie poids lourds étant l’exception, pour des raisons évidentes.

    Gagner 15 kilos de muscle en 28 jours ? Impossible prétendent les sceptiques. Perdre 9 kilos de gras en un mois sans faire de l’exercice ? Impossible prétendent les sceptiques.

    Alors laissez-nous rajouter un autre point à la liste des choses impossibles : J’ai perdu plus de 9 kilos en moins de 24 heures, sur plus d’une douzaine d’occasions. L’exemple le plus extrême était 15 kilos – de 84 kg à 69 kg – en moins de 20 heures, ce qui a produit un battement de cœur, au repos, de 120 battements par minute. Assez déplaisant pour essayer de trouver le sommeil et la sérénité.

    En 1999, j’ai été médaillé d’or au championnat national de Sanshou (Kickboxing chinois) dans la catégorie des -75 kg. C’est peut-être la réalisation la plus audacieuse, voir controversée, je m’explique. Je suis arrivé sur le site à 85 kg, j’ai fait la pesée à 75 kg (après cutting), pour arriver sur les tatamis le lendemain, pour la compétition, à 88 kg.

    Cet article va expliquer en détail la marche à suivre et le fonctionnement du cutting – les techniques, les « produits », la science – et inclut également des extraits d’une série d’articles que j’ai écrit pour Powerlifting USA en 2004, qui s’appelaient « La nouvelle technologie de l’eau ». Même si vous n’avez pas besoin de cutter (couper) du poids, après avoir lu ce texte, vous en saurez certainement plus sur le fonctionnement des organes et l’hydratation de 99% de tous les athlètes d’élite dans le monde… Quand je parlais de controverse pour l’anecdote du Sanshou, c’est qu’il y en a eu, et il y en aura toujours, le cutting étant un sujet sensible. Ceux qui crient au scandale n’ont jamais participé à des compétitions sportives basées sur des classes de poids.

    Cet article va donc également servir d’amorce pour les critiqueurs qui devraient être plus diligents. Cutter du poids est une pré réquisition et une science pour la compétition d’élite dans ce genre de sports, et c’est tout ! Matt « Kroc » Kroczaleski le sait. C’est un des meilleurs powerlifters de l’histoire, avec des résultats incroyables dans deux classes de poids différentes (100 kg et 110 kg). Voici comment il commence son article en 2007 sur le cutting de poids :

    « Ce qui va suivre est un bref résumé du processus que j’ai utilisé, avec succès, pour cutter jusqu’à 14 kg en moins de 24 heures (je suis passé de 114 kg à 100 kg pour la compétition Arnold en 2007, et ce en 22 heures). Et j’ai tout repris en moins d’un jour. Je l’ai réalisé sans aucun diurétiques ni intraveineuses. Ce cutting était uniquement basé sur la transpiration (et stopper les sucres lents) pour perdre du poids et boire / manger pour le reprendre. Ce processus a été conçu pour les compétitions avec une pesée précédant la compétition de 24 heures au minimum ».

    Nos méthodes étant presque identiques, je vais inclure certains de ses suggestions.

    Phase une – (85 kg à 75 kg).

    Nous allons examiner ici, en termes pratiques, les connaissances scientifiques nécessaires à la déshydratation et les modificateurs et méthodes les plus efficaces pour atteindre le poids imposé, tout en minimisant les dommages musculaires et les dommages des organes.

    Il est important de noter que la déshydratation peut entraîner une défaillance de certains organes, le coma et même la mort, et ce particulièrement lorsque des diurétiques sont utilisés. La mort du Bodybuilder Autrichien Andreas Munzer devrait servir de rappel concernant l’incidence, parfois fâcheuse, de la prise de médicaments tels que l’Aldactone et le Lasix (le deuxième, couplé à de l’insuline à action rapide sont sans doute deux des drogues les plus dangereuses utilisées) et que la prise de tels substances n’est pas à prendre à la légère…

    Tiré d’un article post-mortem dans « The Observer » :

    « Son sang était visqueux et circulait lentement. Son taux de potassium était excessivement élevé. Il avait été complètement déshydraté par les diurétiques qu’il avait ingérés les jours précédant la compétition. Son foie se fendait, et l’examen post-mortem a indiqué qu’il était presque complètement dissous ».

    Mon article est-il donc immoral ou irresponsable? Je pense plutôt le contraire… Je le publie maintenant car je suis attristé de lire encore et toujours que des athlètes se tuent eux-mêmes avec des approches imprécises, inadéquates et dangereuses. C’est une certitude, mais de tels athlètes (qui pratiquent des compétitions avec catégories de poids), essaieront de cutter de toute façon, un jour ou l’autre, donc je vais essayer de vous fournir des directives plus sûres, qui j’espère vous aideront dans cette « épreuve ». Je préfère vous faire une narration ouverte et vous offrir une sorte d’éducation, et mon expérience à ce sujet.

    Je suis bien évidemment obligé de souligner, encore une fois, que cet article est à titre informatif seulement. !!!A NE JAMAIS OUBLIER : LA DESHYDRATATION RAPIDE EST TRES DANGEREUSE ET DES LESIONS CEREBRALES AINSI QUE LA MORT PEUVENT EN RESULTER (ndlr) !!! Donc soyez prudents et faîtes les choses correctement.

    Cet article n’est bien sûr qu’une introduction. Il contient des approches du cutting plus rapides, mais à bien des égards plus sûres, qui peuvent supplanter certaines pratiques plus dangereuses (particulièrement des diurétiques), tout en fournissant des résultats comparables.

    La pratique de la déshydratation rapide est donc courant auprès des athlètes d’élite pratiquant des sports, notamment de combats, qui sont basés sur des catégories de poids, et ce même (pour certains inconscients) pour des compétitions dont les pesées ont lieu juste avant le moment où les athlètes doivent aller sur les tatamis pour combattre. Le problème est encore amplifié lorsque les athlètes doivent gagner de la masse musculaire au cours d’une seule saison de compétition (prise rapide). Mais ils doivent souvent rester dans une catégorie de poids bien précise pour être au top de leurs conditions (et avoir donc de bons résultats). J’ai l’espoir que les détails d’approche qui sont dans ce texte puissent aider des athlètes à éviter des pratiques trop dangereuses (port de sacs à ordures ou corde à sauter dans les saunas, etc.) qui sont au final assez répandues et, de plus, entrainent une perte excessive et imprécise, surtout lorsqu’on a rien dans le ventre…

    Alors comment peut-on passer de 85 kg à 75 kg, puis combattre 18 heures plus tard à 88 kg ? Chaleur latente et modification de recaptage d’électrolytes bien sûr !

    Il a été prouvé que les deux meilleurs moyens (les plus appropriés) pour la facilitation de la perte d’eau à court terme (diurèse) sont : la manipulation de la thermorégulation et la manipulation des hormones liées à l’équilibre électrolytique et à la rétention d’eau. En d’autres termes, vous pouvez combiner 1) l’augmentation de l’excrétion d’eau par la peau via des traitements de température avec 2) l’augmentation de l’excrétion d’eau par l’urine, qui est dépendante de la modification de la fonction rénale.

    Si vous pesez 91 kg, 55 de ces kg sont de l’eau, repartie entre trois endroits : le sang, l’intérieur des cellules (ou fibres musculaires) et les espaces entre les vaisseaux sanguins et les cellules qui en dépendent. Environ 8% de votre volume total d’eau est contenu dans le plasma sanguin, 67% est contenu dans les cellules elles-mêmes et 25% se trouve dans les espaces entre les deux, ce qui comprend l’eau sous-cutanée. Il est donc impératif que les athlètes comprennent les zones à partir desquelles l’excès d’eau s’élimine, afin de pouvoir épargner l’eau la plus importante (les 67% se trouvant dans les cellules).

    La thermorégulation et la manipulation douce d’électrolyte, additionnées à des suppléments de potassium, offrent, pour la reprise de poids (après la pesée), une combinaison convaincante en matière d’efficacité et de sécurité. Gardez en tête que le mot « sécurité », en particulier lorsqu’il est utilisé dans un contexte intrinsèquement dangereux, est relatif.

    L’exercice, que ce soit courir ou d’autres exercices, ne sont pas conseillés pour la déshydratation, car ils imposent une charge sur les systèmes musculaires et nerveux, et ce alors que la récupération ne pourra pas être optimale (stress infligé à l’organisme par le cutting et la compétition), diminuant ainsi la capacité de production de force que nous voulons préserver pour le jour J.

    De plus, les athlètes ne devraient jamais cutter pour la première fois avant une compétition. Tout comme n’importe quelle autre technique, la déshydratation rapide doit être pratiquée et fonction des exigences de l’échéance (mais qui en général ne dépassera pas 85 à 90% de la perte exigée pour les essais), et ce au moins deux fois avant la période de compétition, afin de s’assurer que chaque athlète comprenne la conséquence sur sa performance individuelle et le temps de récupération nécessaire.

    La réhydratation et l’hyperhydratation (supplémentaire) sont assimilables à travers deux principaux vecteurs : augmenter la vitesse d’absorption d’eau et augmenter le volume d’eau qui peut être retenu dans l’organisme, à des fins de performance musculaire. Cela se réalise principalement avec de l’eau purifiée (distillée) et des molécules de glucose modifiées. En hydratant scientifiquement et en augmentant le volume de plasma sanguin artériel, vous augmentez le pH sanguin (alcalines) ce qui augmente la capacité de l’hémoglobine à se lier à l’oxygène.

    En résumé, une bonne hydratation augmente l’apport d’oxygène aux tissus du corps. Une grande perte d’eau peut entrainer une grande baisse d’endurance aérobic pour cette raison. En augmentant l’hydratation de plasma et l’hydratation cellulaire, vous pouvez, à l’inverse, optimiser l’apport et l’absorption d’oxygène, ce qui provoquera une augmentation subséquente de l’endurance.

    Thermorégulation : L’humidité et la concision.

    Torranin a démontré que la déshydratation diminue à la fois l’endurance isométrique et dynamique, respectivement de 31% et 29%, et ce après une réduction de seulement 4% de la masse corporelle après séance(s) de sauna (donc seulement 3,6 kg pour un athlète de 91 kg, ou plus simplement 4 kg pour un individu de 100 kg). Ceci démontre encore plus la déficience fonctionnelle causée par la déshydratation, et l’importance primordiale de limiter le temps passé dans cet état. Grâce à l’expérience empirique de l’auteur, ce dernier a pu se rendre compte (comme bien d’autres, ndlr) que la déshydratation ciblée doit être accomplie dans un laps de temps le plus court possible, et le plus sûrement possible. Une déshydratation modérée mais soutenue sur plusieurs jours ne fait qu’exacerber le problème inhérent de maintenir les réserves de glycogène et l’intégrité des tissus musculaires.

    Pesée le samedi : 09.00 heures

    Si la pesée est hypothétiquement à 09.00 heures le samedi matin, il faut limiter l’apport en sel supplémentaire en commencent pour le dîner/souper du jeudi. Ni viande rouge, ni glucides/féculents (pain, riz, pommes de terre, pâtes) ne devraient être consommés dans la nuit du jeudi au vendredi (il est même fortement conseillé de les réduire en quasi-totalité 1 semaine avant la pesée, ndlr). Ces deux catégories de d’aliments causent un stockage disproportionné d’eau (3 grammes d’eau pour 1 gramme de glycogène ; rétention d’eau par la créatine et les tissues fibreux dans la viande rouge). Buvez votre volume normal de liquides, mais sous forme d’eau purifiée ou distillée, et ce jusqu’au vendredi matin. A ce moment, la consumation d’eau, toujours limité à de l’eau purifiée ou distillée, devrait être réduite à 1/3 de votre volume normal de consommation. Si vous ne voulez pas faire de maths, buvez juste 1/3 de verre/tasse à chaque fois que vous boiriez un verre plein.

    Le vendredi soir, après un dîner/souper tôt (entre 17.00 et 18.00 heures) et léger (composé principalement de légumes et fruits), le travail de thermorégulation doit commencer, et la consommation d’eau doit être dès lors arrêtée jusqu’à la pesée. Des diurétiques, pas prescriptibles (et pas conseillés, ndlr), qui seront détaillés plus loin, seraient consommés au petit déjeuner, au déjeuner et au dîner le vendredi, puis au réveil le samedi matin.

    Séances de 10 minutes : La baignoire est le meilleur outil pour pratiquer la déshydratation basée sur le taux d’humidité à l’extérieur, en submersion totale (100% d’humidité). Plus l’humidité est élevée, moins il y a d’évaporation, donc votre corps doit transpirer pour refroidir la température corporelle (but de la transpiration, ndlr).C’est pour cela que les athlètes transpirent davantage dans un bain de vapeur (hammam) que dans un sauna traditionnel (sec).

    Remplissez la baignoire avec de l’eau qui ne brûle pas la main, mais qui provoque des douleurs modérées (sensation de trop chaud). Votre objectif de perte devrait être entre 900 grammes et 1.3 kg au dessus du poids ciblé pour la pesée, et ce lors du moment d’aller au lit. C’est encore trop, me direz-vous, mais vous allez encore évaporer un certain volume d’eau pendant la nuit (6 à 9 heures de sommeil). Préparez un réveil (ou tout autre minuterie) près du bain, qui sonne après 10 minutes, ou prévoyez que quelqu’un soit avec vous pour vous prévenir quand vous avez atteint ces 10 minutes. Ensuite, Immergez entièrement votre corps et votre tête dans la baignoire. Ca devrait prendre au moins deux minutes (ca fait chaud, ndlr)… Pour faciliter l’entrée et minimiser le mouvement, asseyez-vous avec les jambes croisées sur le bord de la baignoire et couchez-vous (faites-vous glisser) lentement. Mettez votre tête sous l’eau, oreilles y.c., afin que seul votre visage ne sorte (regardant le plafond), et respirer lentement et profondément, afin de ne pas trop augmenter le rythme cardiaque pour rien. Lorsque vous atteindrez les 10 minutes, sortez de l’eau et faîtes couler de l’eau froide sur votre cuir chevelu, mais pas sur le reste du corps (faîtes le aussi si vous vous sentez faible ou mal à tout instant, avant la fin de la séance). Idéalement, vous pouvez aussi placer un sac de glace sur la tête et la nuque, à la place d’utiliser de l’eau.

    Séchez vous avec un linge mais ne prenez pas de douche, car vous allez de nouveau réabsorber de l’eau (par la peau). L’auteur a vu des lutteurs d’élite faisant l’erreur de prendre une douche le matin de la pesée, et découvrir qu’ils avaient repris de 900 grammes à 1,3 kg ! Ne faites pas cette erreur. Donc évitez les douches, et ce jusqu’à la pesée. Après s’être séché et avoir uriné après la première session de 10 minutes, pesez-vous si possible sur deux balances, en prenant la moyenne de quatre pesées : deux fois sur chaque balance. Ceci pour prendre en compte toute inexactitude mécanique. Beaucoup d’athlètes perdront trop de poids la première fois qu’ils utilisent la baignoire, ce qui augmente juste la période de récupération nécessaire.

    Prenez une pause de 5 minutes près d’une source de refroidissement ou à température ambiante si vous n’avez pas encore atteint le poids, et répétez les séances de 10 minutes d’immersion avec des pauses de refroidissement de 5 minutes, jusqu’à ce que vous soyez entre 1.8 à 2.3 kg du poids requis.

    Au moins 900 grammes seraient perdus en raison des diurétiques de potassium qui sont détaillés dans les sections suivantes. Donc si vous baissez votre poids corporel de manière excessive, vous devriez quand même consommer de l’eau afin de vous assurer d’être 900 grammes à 1.3 kg au dessus du poids requis avant de dormir.

    Suggestion pratique de Matt Kroczaleski : Quand il y a un délai court, la seule chose qui compte pour la pesée est de savoir combien pèse la nourriture « physiquement », et non la teneur en calories, quand on la consomme. Je me permets deux petits morceaux de pain avec du beurre de cacahuètes, généralement espacés, pendant la période de cutting. Le premier morceau est généralement consommé à environ 10 à 12 heures de la pesée (qui a lieu à 09.00 heures le lendemain) et le deuxième morceau environ six heures plus tard. Je sens à chaque fois un regain d’énergie et un sentiment de bien-être après ces petits snacks.

    A contrario, Je ne me permets pas de boire pendant le cutting, car c’est illogique et contre-productif par rapport à ce que je suis en train d’entreprendre (perdre de l’eau pour en reboire). Je vais certes mâcher et recracher des morceaux de glace lors de mes pauses de cinq minutes, en sortant de la baignoire, mais je ne bois pas l’eau qui en résulte, ni tout autres liquides pendant le processus de perte de poids.

    Diurétiques sans ordonnance et potassium : Le flux sanguin et le filtrage de sodium.

    Quasiment tous les diurétiques produisent leur effet, directement ou indirectement, en agissant sur les reins. Il existe deux principaux types de diurétiques (prises) : oraux ou injectables. Ils augmentent le flux sanguin vers les reins, ce qui inhibe la réabsorption des électrolytes par les néphrons dans les reins.

    Il faut imaginer les reins comme les filtres du sang circulant dans notre organisme. Chaque jour, la quasi-totalité des toxines, des excès d’eau et minéraux inutiles sont filtrés et éliminés par les reins. En outre, si vous augmentez la quantité d’eau qui est excrété par litre de sang, et que simultanément vous augmentez le volume de sang qui passe à travers les reins, l’effet diurétique sera prononcé et il en résultera une urination augmentée (plus fréquente).

    Les diurétiques prescrits sur ordonnance, en particulier le Lasix, provoquent souvent un appauvrissement excessif de calcium, de magnésium, de potassium et des ions qui régulent la transmission électrique ainsi que la fonction cardiaque. Une insuffisance de potassium modérée peut causer des dommages à l’ADN et des crampes musculaires qui se traduiront inévitablement par des performances et une force réduites. Une insuffisance plus grande peut entrainer une défaillance organique, voir un arrêt cardiaque (pour les athlètes qui ne comprennent pas les risques encourus par la prise de tels médicaments). La raison la plus évidente est que ces substances n’ont pas été crée pour cet usage… Et pas durant une période de stress. Les diurétiques ont été conçus pour le traitement de l’hypertension et l’insuffisance cardiaque congestive.

    L’auteur a trouvé deux composés particulièrement efficaces pour la perte d’eau à court terme, qui permettent d’atténuer fortement ces risques : la racine de pissenlit (taraxicum officianalis), et la caféine, un alcaloïde xanthine, avec qui nous sommes tous (ou presque) copains.

    La racine de pissenlit et la plante contenant le plus de vitamine A, à ce jour, et contient également une teneur en choline élevée. C’est une plante facilement disponible. Sa grande qualité et qu’elle augmente l’excrétion du chlorure de sodium par les reins, tout en présentant des propriétés de rétention du potassium. Lorsque l’excrétion de sodium est augmentée, les reins augmentent l’excrétion de l’eau pour maintenir l’équilibre électrolytique et osmotique. Les doses pour la déshydratation « sportive » se basent sur un extrait de 4 :1, et sont de 250 à 500 mg, 3 fois par jour, avec les repas.

    La caféine, quant à elle, n’augmente pas seulement l’excrétion de chlorure de sodium, mais agit principalement en augmentant le flux sanguin rénal et la stimulation des cellules pariétales, ce qui augmente les sécrétions gastriques. Ces derniers se combinent avec l’effet du pissenlit (flux biliaire accru), non seulement pour augmenter l’excrétion de l’eau, mais aussi pour faciliter l’élimination des aliments (vidange gastrique). Les doses pour la déshydratation « sportive » sont de 200 à 400 mg de caféine (de préférence la caféine anhydre) 2 à 3 fois par jour, avec les repas. 200 mg représente à peu près l’équivalent de deux tasses de café filtre, ou une tasse de café pressé.

    Utilisé en combinaison, pour un athlète de 91 kg, 250 à 500 mg de racine de pissenlit et 200 à 400 mg de caféine devraient être consommés à tous les repas du vendredi (rappelez-vous que le diner/souper sera pris tôt, entre 17.00 et 18.00 heures car, encore une fois, ici, la pesée se déroule le samedi à 9h. ndlr), puis encore au réveil le samedi, 3 heures avant la pesée (09.00 heures). Il est recommandé que l’athlète consomme également à chaque repas un complément sans ordonnance, riche en potassium.

    Phase deux – De 75 kg à 88 kg (reprise et surcompensation)

    Comment utiliser les alcools de sucre (p. ex. glycerol, glycerine, propane triol, etc…), les protecteurs de la peau et des mimétiques d’insuline, pour se remettre de la déshydratation et passer d’un poids de pesée de 75 kg à 88 kg (tout en sachant que le poids de pré-compétition était de 85 kg) ? Comment un athlète peut-il retenir 50% de liquide de plus par voie intramusculaire, pour une amélioration de la livraison d’oxygène, et donc de la puissance ?
    Le simple fait d’avoir passé la pesée ne signifie pas que vous êtes prêt pour la compétition… Loin de là…

    Une bonne hydratation cellulaire est nécessaire pour la synthèse de glycogène et la contraction musculaire. Déshydrater un muscle de seulement 3% vous cause une perte d’environ 10% de la force de contraction et une perte de vitesse de 8%. Une recherche de la Ball State University (pour des coureurs) a démontré une diminution de 7% en vitesse, sur une distance de 10 kilomètres, pour des athlètes qui étaient déshydraté de seulement 2 à 3% de leur masse corporelle totale. Pour un individu de 68 kg, cela représente une perte d’eau de seulement 1,4 kg à 2 kg. Cela démontre l’importance primordiale de la réhydratation rapide pour une meilleure sécurité, une meilleure récupération et une performance de force optimale après une déshydratation volontaire. C’est en particulier valable lorsque le % de la masse corporelle maigre (LBM en anglais) est importante (l’auteur a supervisé des réductions jusqu’à 18%, mais ne les conseille pas, car trop dangereuses et trop complexes. ndlr).

    Un des objectifs pendant la phase de déshydratation est la préservation des fibres musculaire, du volume de liquide du plasma sanguin et l’excrétion simultanée d’eau sous-cutanée étrangère (qui se trouve entre la peau et les muscles). Similairement, l’objectif lors de la réhydratation est l’augmentation des cellules musculaires et du volume de liquide dans le plasma sanguin (hyperhydratation). C’est quoi l’hyperhydratation ? C’est un état qui est produit lorsque l’on augmente artificiellement la quantité d’eau que le corps peut retenir, pour une augmentation de la puissance et de l’apport d’oxygène. A cette fin, les athlètes avec lesquels j’ai travaillé ont utilisé les modificateurs et « outils » suivants, dont l’usage et les dosages sont inclus plus tard :

    Pour le volume du plasma sanguin : bains à température ambiante, l’unité d’eau PJ-A3AH microstructurées, le glycérol, la glycérine, le propane triol (1, 2 et 3) et la supplémentassion d’électrolytes.

    Pour l’hydratation des cellules musculaires (hypertrophie sarcoplasmique) : bains à température ambiante, l’unité d’eau PJ-A3AH microstructurée, un taux de 4/1 glucides/protéines, du glucose, des agents d’élimination du glucose et des mimétiques d’insuline, le monohydrate de créatine.

    Il faut utiliser la peau comme un canal d’eau. Dans l’exact inverse du protocole de déshydratation, il est conseillé que tout en consommant de l’eau « bio-ingénierique » (voir ci-dessous), l’athlète doit utiliser le plus grand organe du corps comme un capteur pour l’absorption d’eau ; cet organe est la peau. Prenez un bain de 15 minutes dans l’eau à température ambiante, de préférence avec du sel d’Epsom pour la supplémentassion en magnésium et la relaxation musculaire (car souvent, la diminution de l’approvisionnement d’électrolytes provoque des crampes musculaires).

    Comprendre l’intestin grêle, la vidange gastrique et les aquaporines : Il est essentiel que tout athlète ayant un court laps de temps pour sa réhydratation augmente sa vidange gastrique (et donc la vitesse à laquelle les liquides passent de l’estomac vers l’intestin grêle). L’optimisation du volume du plasma sanguin précède l’hyperhydratation des cellules musculaires, et les solides consommés pour la restauration du glycogène diminuent la vitesse de la vidange du liquide gastrique. Ca doit être accompli avant que le glycogène soit restauré par l’ingestion de matière sèche.
    Notez également que la plupart des boissons sportives qui sont disponibles dans le commerce (Gatorade, Powerade, etc.) et des soi-disant « liquides de remplacement » contiennent une concentration beaucoup trop forte en sucres (fructose, dextrose, glucose, saccharose, maltodextrine, etc…) et autres composants, pour se déplacer efficacement de votre estomac vers le site principal de l’absorption qui se trouve dans l’intestin grêle. Cela ne signifie pas que vous devez toutes les éviter, mais comme l’auteur le souligne plus loin, avec des sels de réhydratation par voie oral, c’est bien mieux (que tout le monde utilise, ndlr). Cela signifie simplement que vous avez besoin de précision.

    Le processus optimal de réhydratation initial transférerait le H20 (molécule d’eau indispensable à la réhydration rapide), ingéré du tube digestif (en particulier de l’intestin grêle), rapidement et sans perte de volume, vers la circulation sanguine (la « perte » est définie par l’excrétion éventuelle, plutôt que la rétention de l’eau). Les canaux de protéines situés dans la membrane cellulaire, appelés « aquaporines », permettent un afflux de simples fichiers de molécules en « grappes » de seulement 3-6 « angströms » de diamètre. Malheureusement, 50 à 85% des grappes de molécules d’eau sont de 11-13 angströms de diamètre. Bien que plus efficacement assimilé que de l’eau non purifiée, nous excrétons toujours 50 à 85% de l’eau purifiée que nous ingérons. Pour une hydratation optimale, définie par une absorption maximum de H20 par ml d’ingestion, il y a une option plus récente et plus efficace : de l’eau purifiée en micro-grappes. Grace au procédé de l’électrolyse, l’eau du robinet de base est restructurée en petites grappes de 5-6 molécules d’eau (tels qu’identifiés par résonance magnétique nucléaire et par mètres spectroscopiques « Raman »), ce qui permettra de faciliter leur passage dans les aquaporines.

    Note importante : les ouvrages scientifique disponibles en anglais sur l’eau purifiée en micro-grappes sont souvent une source de confusion et/ou peuvent contenir beaucoup d’absurdités. Cependant, il est à noter que les résultats évoqués proviennent mon auto-expérimentation (après l’achat du Panasonic PJ-A3AH), car appris que le PJ-A3AH était utilisé dans les hôpitaux japonais pour traiter certaines victimes de brûlures.

    Pour les sceptiques, je trouve qu’il est difficile de parler d’effet placebo effet placebo : moi-même et plusieurs autres athlètes étaient en mesure de boire plus de 2 litres d’eau purifiée en micro-grappes (Panasonic PJ-A3AH), sans aucun problème ou excrétion, même 5 heures plus tard. Divisé par 5 dl et multiplié par 1.5, nous pouvons extrapoler que l’équivalent approximatif de 3 kg d’eau du robinet a été assimilé… Tous les athlètes impliqués se sont hydratés toute la journée, et ont généralement uriné au moins une fois tous les 1,5 – 2 heures.
    Toutefois l’unité de Panasonic étant difficile à trouver, l’eau purifiée ou distillée peut être utilisée en remplacement. Les molécules d’eau peuvent se déplacer à travers la membrane cellulaire, mais à vitesse plus lente, raison de son moindre efficacité.

    Pour éviter une hyponatrémie, ou l’intoxication par l’eau, il sera dans les deux cas recommandé que vous consommiez 75 mg de sodium par 2.5 dl d’eau (environ 1/3 de cuillère à thé par grand verre), afin de maintenir l’homéostasie de l’eau et des électrolytes. Si vous ne le faites pas, une soif entrainant une dépense de sel sera inhibée prématurément pour éviter une sur dilution du sang. Sur une période de réhydratation de trois heures, les sujets qui consommaient de l’eau additionnée de sodium ont restauré 82% des liquides perdus, contre 68% pour les sujets qui consommaient de l’eau simple. Le glucose augmente également l’absorption de l’eau à travers la paroi intestinale.
    Une alternative encore simple est de consommer des sels de remplacement, par voie orale, comme « Pedialyte » (ce qui est très répandu chez les lutteurs, entre autres). Les raisons de le faire sont claires, dans ce commentaire du lecteur Craig Weller :

    « J’ai participé une fois à une expérimentation, dans un laboratoire d’hydratation, à un cours de médecine de combat. Un des buts de ce séminaire était de démontrer que beaucoup de méthodes modernes de réhydratation sont inefficaces, contre-productives, voir même néfastes pour la santé. Les participants ont été divisés en quatre groupes, chargés de s’hydrater soit avec de l’eau, de l’eau additionnées de SRO (sels de remplacement par orale), de Gatorade et par intraveineuse. Je n’ai plus mes notes, mais il me semble que les quantités étaient d’environ 3.8 litres par heure, pendant quatre heures (mise à part pour l’intraveineuse bien sûr…, mais les apports était équivalents). La plupart des participants dans le groupe « Gatorade » ont développé une diarrhée violente. Moi, j’étais dans le groupe de l’eau ordinaire, qui a développé les symptômes de l’hyponatrémie. Le groupe IV (intraveineuses) a développé des œdèmes ridicules : ils ressemblaient à des hommes Michelin. Le seul groupe qui n’a pas trop souffert a été le groupe de « SRO ». Ils n’ont pas eu d’œdème, pas d’hyponatrémie (céphalées, fatigue, etc…) ni de diarrhées, à l’image des autres groupes. Si je me souviens bien, ils n’ont pas non plus excrété autant (nous avons mesuré l’excrétion urinaire, au millimètre près et graphiquement, au cours des quatre heures). Tous les groupes, sauf le groupe « SRO », ont rapporté des effets néfastes pendant environ 24 heures après. La majorité de tout ça semble logique, mais l’expérimenter soit même était une expérience d’apprentissage dramatique… ».

    L’alcool le plus doux pour la réhydratation :

    Le glycérol (1, 2, 3 et propane triol) communément vendu dans les supermarchés comme «glycérine» (hydratant pour la peau, etc…) est un alcool de sucre contenant des propriétés hygroscopiques (rétention d’eau ou capteurs d’eau). Il est aussi utilisé dans certaines barres de substitut de repas pour maintenir la douceur, ainsi que dans certains hydratants pour les mains (en raison de sa capacité à « capter » l’eau de l’air). Le glycérol est un alcool de trois carbones produit avec des acides gras. Une réhydratation effectuée avec glycérol augmentera significativement la restauration du volume plastique après 60 minutes déjà. Le volume urinaire total sera plus faible, pour le même volume de liquide qu’ingéré habituellement (signe que le corps a capté plus d’eau). Le pourcentage de réhydratation sera donc significativement plus élevé après l’usage de glycérol. Lors d’expériences à l’aide d’ergomètres, les rythmes moyens des battements du cœur étaient inférieurs après l’ingestion de glycérol, par 4.4+/-1.1 battements/minute (p=0.01). L’endurance a également été améliorée après l’utilisation de glycérol, dans deux études : étude 1 (93.8+/-14 min. contre 77.4+/-9 min., p=0.049) et étude II (123.4+/-17 min. contre 99.0+/-11 min., p=0.03), ce qui démontre que l’hyperhydratation couplée au glycérol, avant une compétition, permet à la fois de baisser le rythme cardiaque et d’améliorer l’endurance de l’athlète (Montner P.). L’ingestion de glycérol apporte donc une hydratation (ou réhydratation) beaucoup plus efficace que celle apportée par des volumes égaux de « Gatorade », d’eau distilée ou d’eau claire (Griffin SE). Les concentrations de sérum de glycérol sont normalement 0.05 mmol/L au repos, mais peuvent être augmentée à 20 mmol/L par ingestion de 1-1.4g/kg (du volume total de la masse corporelle ou LBM) d’une solution de glycérol (40%) mélangée à 20-26 ml/kg LBM d’eau. En faisant la moyenne de ces montants et en les convertissant, on devrait consommer 0.543g/lb LBM de glycérol et 0.3984 onces de liquide (eau). Pour un athlète de 68 kg : 81.45 grammes de glycérol mélangés à 1.76 litres d’eau (de préférence celle citée plus haut). Pour un athlète de 91kg : 108.6 grammes de glycérol avec 2.36 litres d’eau. Pour un athlète de 114 kg : 135.75 grammes de glycérol et 2.95 litres d’eau. Il est essentiel que l’eau supplémentaire soit consommée avec du glycérol, sinon l’eau sera « tirée » dans le plasma sanguin et plus vite éliminée par voie urinaire.

    Du glucose et de l’insuline pour augmenter la vitesse d’hydratation :

    Les glucides sont convertis en glucose par la digestion, et la glycémie inutilisée est stockée sous forme de glycogène, dans le foie et les muscles. Concernant la 2ème partie, notre athlète ne consommera pas de produits amylacés ni de sucres lents depuis le jeudi à midi, et ce jusqu’à la pesée (dans notre cas le samedi matin à 09.00 heures) ; il aura donc épuisé les réserves de glycogène nécessaires, chaque gramme de glycogène détenant 3 grammes d’eau.
    Pour se réhydrater de façon optimale après la consommation initiale d’eau/sodium/glycérol transgéniques, il faut optimiser les stocks de glycogène pour que toute la capacité de stockage d’eau soit rétablie. Ceci sera effectué en consommant des macronutriments (protéines, glucides) et des agents d’élimination de glucose, ceci afin d’améliorer la sensibilité à l’insuline (hormone de stockage libérée par le pancréas). L’insuline agit comme enzyme nécessaire à la synthèse de glycogène et stimule donc la sécrétion de cette dernière. Plusieurs points doivent être suivis :

    1. Après la pesée, consommez votre premier repas 90 – 120 minutes APRES la première ingestion de l’eau purifié/distillée avec le glycérol. 2. Consommez des glucides (pâtes, riz et sucres rapides) et des protéines pour optimiser la production de l’insuline, mais il ne faut pas consommer plus qu’un ratio de 4 :1 de glucides aux protéines. Si vous mangez plus de protéines, cela interférera sur la rétention d’eau. Caséinates (fromage ou produits laitiers) ou des protéines d’aliments entiers sont préférables aux poudres synthétiques (« whey » ou autres), qui sont des protéines à action rapide, pouvant causer un catabolisme après déjà 1.5 heures. 3. Prenez 100 mg d’acide alpha-lipoïque (ALA ou acide thioctique) par 34 kg du poids du corps + 50 mg de chrome polynicotinate (non picolinate) à chaque repas suivant la pesée. Les deux composés augmentent la sensibilité à l’insuline et le dépôt des substances nutritives dans les cellules musculaires. Le dernier (chrome polynicotinate) est un chrome lié à la niacine, référencé comme 50x plus biodisponible (ou assimilable par le corps) que le picolinate de chrome. 4. Consommez 5 mg de monohydrate de créatine et au moins 75 mg de sel à chaque repas suivant la pesée. Les deux vont travailler en collaboration avec le CHO comme porteur d’eau afin d’augmenter l’absorption de cette dernière par la muqueuse intestinale.

    L’avantage de l’hyperhydratation : sous-utilisé et sous-estimé. Par la compréhension de l’ingénierie du H20, de ses modificateurs et de la science de l’hyperhydratation, sachez donc qu’il est possible de faire la pesée à 75 kg et de combattre 12 heures plus tard à 88 kg. Il est également possible de consommer 5,7 litres d’eau et d’augmenter la synthèse de protéines 3 fois, tout en optimisant l’oxydation des graisses.

    Peu de sportifs d’élite comprennent que les modificateurs d’hydratation représentent la prochaine génération d’outils pour améliorer la livraison d’oxygène, et donc la performance sportive. C’est précisément cette ignorance qui fait d’une hyperhydratation planifiée un des outils les plus précieux pour les athlètes qui cherchent un avantage de performance légale et sûre avec des résultats qui rivalisent avec tout les compléments alimentaires qui sont actuellement disponibles.

    Pour terminer : faites vos recherches et ne traitez le cutting pas comme un jeu : il peut vous tuer. Bonne chance à ceux dont le sport (ou le niveau) exige la pratique du cutting. Entrainez-vous dur et buvez intelligemment. Aucune médaille ni ceinture ne valent une fin comme celle de Munzer. ABE.

    Notes d’Octogen Team Vevey : L’auteur nous fait comprendre, dans son récit, que cette méthode lui convient particulièrement. Nous rappelons à tous qu’il existe beaucoup de manières de cutter, et que chacun doit trouver celle qui lui convient (bon compromis entre la durée, le temps à dispo, la difficulté et l’impact sur les performances). Nous sommes tous différents. Ne pratiquez pas le cutting sans être supervisés. En cas de volonté de faire de la compétition de haut niveau, nous vous orienterons et vous donnerons toutes les clés indispensables pour réussir efficacement et sûrement cette dure épreuve. Certaines expressions n’ont malheureusement pas pu être littéralement traduites, nous nous en excusons. En espérant que cet article vous soit malgré tout profitable.

    merci a eux pour cet article hyper complet. -LK-

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