Photo credit: Esther Lin (MMA Fighting)
Photo credit: Esther Lin (MMA Fighting)

Et de trois! Si Anderson Silva est l’homme de tous les records dans l’octogone, il pourrait bien l’être en dehors aussi, en matière de contrôles anti-dopage foirés pour un seul et même événement.

Alors que le ‘Spider‘ est entendu en ce moment par la Commission Athlétique du Nevada, celle-ci a révélé ce soir que l’ancien champion poids moyen de l’UFC avait échoué au total à trois contrôles anti-dopage en lien avec l’UFC 183.

Le premier, fût le fameux test hors-compétition du 9 janvier qui avait révélé la présence de métabolites de drostanolone et d’androsterone (un stéroïde anabolisant pour l’un, une forme de testosterone endogène pour l’autre). Le second, est le test pre-fight administré le soir du combat UFC 183, où il a de nouveau été contrôlé positif aux métabolites de drostanolone. Enfin le troisième (qui vient d’être annoncé), est en fait un test post-fight qui a également été administré le soir du combat, le 31 janvier. Celui-ci a permis de détecter la présence d’oxazepam et de temazepam. Ces deux produits sont des médicaments de lutte contre l’anxiété et l’insomnie…

La pression était décidément beaucoup trop forte à supporter, même pour l’un des plus grands combattants de tous les temps visiblement…

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Le dossier complet sur Anderson Silva:

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1 commentaire

  1. En fait, les deux anxiolytiques pour lesquels il a été contrôlé positif ne sont pas interdits par le WADA. Seulement, Anderson Silva ne les a pas déclaré dans le questionnaire médical qui lui a été donné avant le combat… Du coup la Commission a considéré ça comme une fraude…

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